À cheval sur deux continents, la ville se souvient qu’elle fut la Byzance des Grecs, la Constantinople de l’Empire romain d’Orient et la capitale des sultans ottomans, le long du Bosphore, théâtre de l’histoire, Istanbul est aussi un véritable théâtre de rues. Bâtie sur sept collines surplombant la mer, elle est un enchevêtrement de ruelles. C’est « l’Orient tout contre l’Occident ». Deux gigantesques ponts suspendus jetés sur le Bosphore relient l’Istanbul asiatique (Üsküdar, Kadýköy…) à l’Istanbul européenne , scindée elle-même en deux par le célèbre estuaire nommé la Corne d’Or. Au sud, la péninsule du vieux Stamboul (Sultanahmet, Sirkeci…), regroupe la plupart des monuments connus. Au nord, les quartiers de Galata, Beyoðlu avec l’Istanbul fin XIXe, prolongée par la ville moderne où commence la « vraie vie » des Stambouliotes.
La basilique Sainte Sophie – la mosquée Bleue – le palais de Topkapi – le musée archéologique – la mosquée de Soliman – le palais de Dolmabahçe – le Bosphore – l’église Saint Sauveur in Chora – le palais de Beylerbeyi – la mosquée de Rüstem Pacha – les loukoums du bazar aux épices…